Col du Lautaret depuis Briançon

Une montée longue mais douce, prélude obligatoire à l'ascension du Galibier côté Briançon ou à celle de l'Oisans ou du Col de la Croix de Fer. Tôt le matin, avec peu de circulation, elle est agréable et fraîche. Evitez les week-ends si possible. Paysages majestueux au sommet, très beaux.

La qualité de la route est bonne. La rampe SO est généralement large et ne comporte pas de virages serrés, ce que les motards qualifient de "bien aménagé" et qui rend parfois les cyclistes un peu mal à l'aise. Vers les km 13 et 4 (jusqu'au col, en venant de Briançon), il y a des tentatives en demi-teinte pour marquer une bande cyclable.

Ce n'est pas si difficile, ce n'est pas raide et c'est en fait juste une partie du galibier, mais c'est bien goudronné et il y a une belle petite place au sommet.

J'ai conduit un jeudi de la fin août. Pourtant, il y avait une foule ridicule dans la première moitié. Le vent était aussi très fort, je n'ai donc que de mauvais souvenirs de cette montée.
Je préférerais prendre la voiture jusqu'au sommet (encore une fois, plus de trafic :-) ) et continuer avec le vélo jusqu'au Galibier. Le contraste ne pourrait être plus grand - calme, belle ascension !
La première photo est la vue du sommet vers le nord - la deuxième photo est celle de l'approche du sommet depuis Briançon (seule cette partie est encore assez bonne).

Si vous voulez faire l'ascension du col du Galibier à partir de Briançon, les 27 km d'échauffement jusqu'au col du Lautaret sont des préliminaires obligatoires.
Au départ, il s'agit d'une brève poussée sur les pédales pour échapper aux gaz d'échappement estivaux de Briançon.
La suite à travers la large vallée du domaine skiable de Serre Chevalier est principalement du faux plat sur de larges routes droites et fréquentées avec des pistes cyclables sporadiques. Les 10 derniers kilomètres tournent continuellement 5％ vers le haut avec quelques tunnels à moitié ouverts juste avant la hauteur du col.
Heureusement, les sommets enneigés du parc national des Écrins sur le côté gauche de la route fournissent la distraction nécessaire. Le sommet est agréablement touristique et entouré d'une beauté naturelle à 360°, y compris les invitants et irrésistibles virages en épingle à cheveux vers le Galibier pour les cyclistes.
Tous les kilomètres, des panneaux d'information indiquent l'altitude, la distance jusqu'au sommet et le dénivelé du kilomètre suivant.

Si le Galibier figure également à votre programme, le dosage est une nécessité, car l'approche n'est pas difficile en raison de son dénivelé, mais de sa longueur et le vent peut être un sérieux trouble-fête.

Le vent joue un rôle important ici. Au vu des chiffres, on peut dire que c'est du gâteau !
Si vous avez le vent contre vous, le chemin peut être long, surtout si vous "prenez" le Galibier.

En fait, le Lautaret depuis Briançon est comme une route de province. Occupé et pas sympa. Mais, après avoir passé le Pont de l'alp, cela devient un peu plus facile. Vous continuez à rouler le long d'une route large et très fréquentée, mais vous pouvez profiter de vues magnifiques que vous n'avez pratiquement jamais dans un endroit aussi large.

N'oubliez pas de manger un sandwich sur le Lautaret. Vraiment, le pannini ici est divin pour une bonne affaire. C'est le petit endroit sur le côté droit de la route. ......
gr eric